Comme le prouvent ses ingérences dans le dossier Armel Sayo, la France reste visiblement obstinée à renverser le régime démocratique du Président Touadera. Selon de nombreuses sources fiables, l’ambassade de France à Yaoundé est à pied d’œuvre afin d’empêcher l’extradition de ce chef rebelle qui a du sang de nombreux Centrafricains sur les mains vers son pays d’origine.
S’il n’est pas un secret pour les africains de savoir que la politique africaine de la France a toujours été celle de la prédation, d’appauvrissement et d’aliénation même 60ans après les indépendances de ses anciennes colonies africaines, celle-ci a toujours du mal aujourd’hui à s’en défaire de son passé colonial et de sa volonté de maintenir les pays africains sous son joug.
Tel est le cas de la RCA où de par ses actes, elle reste visiblement obstinée à renverser le régime démocratique du Président Touadera qui pourtant se bat pour le relèvement de son pays. En effet, l’affaire Armel Sayo dont l’extradition traine encore du côté du Cameroun du fait de l’ingérence de l’ambassade de France à Yaoundé, met en lumière la mauvaise foi de la France vis-à-vis de la RCA.
Alors qu’elle a feint un rapprochement avec le pouvoir de Bangui en octroyant un don de 10millions d’euro que les Centrafricains qualifient d’ailleurs de cadeau empoisonné, la France par sournoiserie et fourberie se sert d’un centrafricain véreux en la personne d’Armel Sayo pour s’en prendre aux institutions et peuple centrafricains.
Dans une vidéo devenue virale ces derniers jours sur les réseaux sociaux et avec des preuves indiscutables, l’implication de la France dans la tentative de déstabilisation de la RCA est clairement établie. Ce sont d’ailleurs le barbouze Jean-Louis Gros et Jacqueline Randon, des français qui sont à la manette des actions d’Armel Sayo.
Le fait aujourd’hui pour la France de s’engager dans des tractations avec les autorités camerounaises afin d’empêcher l’extradition de ce bandit de grand chemin vers la RCA alors que des dispositions juridiques entre la RCA et le Cameroun sont claires à ce sujet, témoigne à suffisance de son implication de les manœuvres séditieuses visant à mettre la RCA à feu et à sang.
La France par peur qu’Armel Sayo une fois extradé en Centrafrique, révèle son implication et ses manœuvres dans les actes criminels qui ont eu lieu dans le nord-ouest du pays, fait tout pour ménager ce criminel et lui éviter d’être en face de la justice et le peuple centrafricains. Elle essaie même de mettre la pression le Cameroun afin de ne pas obtenir son extradition.